Puce-toi de l’oie

 

Adaptation anti-polluante et cosmétique de « La petite gardeuse d’oies » des frères Grimm. Hier, une princesse part retrouver son fiancé. Sur le chemin, elle perd le mouchoir magique donné par sa mère et se retrouve à garder des oies. Demain, Ninone fait de même pour ne pas adopter la beauté obligatoire de son époque.

  

À toi d’inventer le futur

De toute beauté

Dans « Puce-toi de l’oie », Li Hoovar a été séduit par la beauté de Ninone. Il est tombé sous le charme de son visage non trafiqué par les technologies.

La beauté est une affaire relative. Elle dépend des cultures, des époques et des conventions. Nous apprenons plus ou moins consciemment depuis notre plus jeune âge à considérer une chose ou une personne comme « belle ».

Les critères de beauté varient d’un pays à l’autre. En Corée, au Japon ou en Chine, il faut avoir la peau blanche et pas bronzée. Au Brésil, il faut avoir la silhouette d’une guitare. C’est-à-dire avoir une petite poitrine et des hanches et des fesses généreuses. Dans plusieurs pays d’Afrique, avoir des courbes très prononcées est le summum. Une femme ronde représente la santé et la fertilité.

On a aussi des beautés fabriquées fabriquées par les usages. Sur les réseaux sociaux, de nombreuses jeunes filles considèrent que la beauté suprême, c’est d’avoir le ventre plat de Paris Hilton, les cuisses rebondies de Beyonce, la taille fine de Keira Knightley et le fessier galbé des sœurs Kardashian.

En Chine, il faut, pour être à la mode, se faire agrandir les oreilles façon lutin. Cette mode est la conséquence des filtres sur les réseaux. On veut maintenant ressembler à son avatar.

Comme dans le futur, tout est possible, Li Hoovar te propose de fabriquer le jeu de l’oie de la beauté.

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